Le jeu d’échecs est un jeu très connu par sa popularité et son histoire qui se transmet depuis des années de génération en génération. Ce jeu est constitué de deux composants spécifiques : les pièces d’échecs et l’échiquier. Ces deux composantes sont indispensables l’un à l’autre. Standard ou mini, classique ou décoratif, à thème ou stylisé ; il existe ce jeu existe pour tous les goûts et pour toute occasion, que vous soyez amateur ou professionnel. Vous découvrirez de très beaux ensembles de ce jeu sur le site : le-palais-des-echecs.com.
En plus d’être un excellent passe-temps, de nombreuses études ont montré que le jeu d’échecs est indiqué pour améliorer l’apprentissage et les compétences sociales des enfants. Ce qui est tout à fait bénéfique !
Découvrez donc avec nous dans la suite de cet article tout ce qu’il faut savoir sur le jeu d’échecs et en particulier sur les différentes pièces qui la constituent.
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Les différentes pièces d’un jeu d’échecs : leurs significations et mouvements dans le jeu
D’après l’histoire l’origine du jeu d’échecs monte vers le troisième siècle avant JC. Les règles simples et la facilité de les apprendre en font un jeu idéal pour les personnes de tout âge. De plus, grâce aux bénéfices incontestables pour le développement intellectuel ; ils sont particulièrement recommandés pour les plus petits.
Comme nous l’avons expliqué au début de cet article, un ensemble du jeu d’échecs est composé de deux éléments indispensables à savoir : l’échiquier et les pièces d’échecs.
- En effet, l’échiquier est le tableau utilisé pour le jeu d’échecs. Il est constitué d’une grille carrée de 8 cases, soit 64 cases en tout, alternant les couleurs sombres et claires. Sur les tables d’échecs, l’échiquier est intégré sur la surface supérieure de la table, servant de plateforme du jeu.
- Quant aux pièces d’échecs ce sont les parties mobiles du jeu d’échecs. Chaque joueur a seize pièces : 1 roi, 1 dame ou reine, 2 tours, 2 évêques, 2 chevaliers et 8 pions.
Les pièces d’un joueur sont blanches ou claires et sont appelées «blanches» ; tandis que les pièces de l’autre joueur sont noires ou foncées et sont appelées «noires». En plus de ces pièces standards, il existe de nombreuses variantes d’échecs. Le mot « pièce » fait référence à chacune des figures d’échecs, y compris les pions. Pour désigner des pièces qui ne sont pas des pions, le terme figure est couramment utilisé.
Ces pièces d’échecs sont de 6 types différents; chaque joueur a: 8 pions, 2 freux (également appelés auparavant roques, dont le surnom roque dérive), 2 chevaliers, 2 évêques, une reine (également appelée dame) et un roi.
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Pièces d’échecs : significations et déplacements
1. Le Roi
C’est la pièce la plus importante du jeu d’échecs, dont la capture est le seul objectif du jeu. Dans le cas où il ne peut pas être changé pendant le jeu, il est considéré comme une pièce inestimable. Il vaut 20 points ; cependant, certains auteurs lui attribuent deux à quatre points de valeur relative, sur une échelle de un à dix ; et ceci, en fonction de sa mobilité, de sa sécurité et du rôle actif qu’il joue dans la phase finale.
Pendant une partie de jeu, le Roi ne peut à aucun moment rester sous la menace de pièces ennemies ; il doit être placé en toute sécurité dans le coup immédiatement suivant, en cas d’attaque. Les règles du jeu d’échecs indiquent qu’en menaçant le Roi de l’adversaire ; l’attaquant peut briser le silence du jeu et annoncer « l’échec et mat » ; et, dans le cas où le roi ne peut pas échapper à la capture, annoncez, il y a » échec et mat ! Ces gestes sont considérés comme optionnels selon les règles du jeu.
Son mouvement consiste à déplacer se déplacer d’un carré horizontalement, verticalement ou en diagonale. Dans le cas où un joueur n’a pas bougé le Roi pendant le jeu ; il est autorisé à faire un mouvement spécial appelé « roque » avec l’un des freux, répondant à certaines exigences.
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2. La reine ou Dame
Elle est une pièce majeure du jeu d’échecs, représentée dans les pays hispanophones et lusophones par la lettre D en notation algébrique. C’est la pièce avec la valeur absolue la plus élevée du jeu, valorisée avec neuf points. Comme la tour, il est capable (avec l’aide du Roi) de gagner un match contre un Roi solitaire.
Dans le chaturanga et le shatranj, anciens prédécesseurs des échecs ; la place de la reine était occupée par le vizir ou le conseiller royal. En Europe, au Moyen Âge, la Dame a progressivement remplacé son prédécesseur, malgré le fait que les mouvements sont les mêmes ; et déjà à la fin du XIIIe siècle, elle était présente sur tout le continent. À la fin du XVe siècle, son mouvement s’étendit, atteignant sa validité jusqu’au XXIe siècle ; bien que les conditions de promotion d’un pion à une nouvelle reine soient encore restreintes.
Normalement, il n’est pas utilisé dans la phase d’ouverture du jeu ; soit soumis aux attaques des pièces plus petites en positions fermées ; bien qu’il existe des ouvertures classées dans L’Encyclopédie des ouvertures d’échecs avec son utilisation précoce. Dans les phases du milieu de jeu et la fin ; elle devient extrêmement utile, car elle est facilement utilisé en tactique comme le support et la brochette.
La Reine ou Dame se déplace en ligne droite à travers les rangées, les colonnes et les diagonales du plateau. Il ne peut pas sauter ses propres pièces ou adversaires et prendre la case occupée par l’adversaire. En raison de sa valeur ; il n’est généralement noté que pour la Reine adverse et son sacrifice, basé sur d’autres pièces, sont des positions qui déterminent normalement l’issue de la partie.
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3. La tour
Anciennement appelée « tour », elle est en fait la pièce d’échecs majeure. Elle est généralement utilisée dans la phase finale du jeu en raison de sa valeur stratégique et tactique ; qui a été largement étudiée dans la littérature échiquéenne. Sa valeur relative est d’environ cinq points ; et elle peut varier en fonction de sa position dans les rangées ou colonnes ouvertes, ou des formations stratégiques telles que les batteries.
Au début d’une partie, chaque joueur dispose de deux pièces qui sont disposées dans les colonnes a et h, dans la première rangée pour les Blancs et dans la huitième pour les Noirs. Il est rarement utilisé en phase d’ouverture en raison de sa faible mobilité en position fermée. Au milieu du jeu, ils sont placés de manière à occuper un fichier ouvert, dans le but d’attaquer le roi de l’adversaire et d’occuper la septième rangée de l’ennemi, et dans la phase finale du jeu, il peut devenir décisif contre des pièces plus petites.
Il se déplace en lignes droites dans les colonnes et les rangées du plateau ; ne pouvant cependant pas sauter des pièces adverses ou alliées et capturer en occupant la case laissée par l’adversaire. Exceptionnellement, si elle n’a pas été déplacée, l’une des tours est autorisée à effectuer un mouvement spécial appelé ‘’roque’’ avec le Roi ; dans lequel la tour peut « sauter » vers le monarque, occupant la case immédiatement après le Roi dans le mouvement.
La tour est présenté dans la plupart des variantes d’échecs, généralement dans la même position de départ que les échecs occidentaux ; bien qu’il existe des différences régionales par rapport au nom. Il a également son mouvement combiné avec d’autres pièces telles que le chevalier.
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4. L’évêque
L’évêque est une pièce mineure des échecs occidentaux ayant une valeur approximative de trois pions. Il se déplace en diagonale, ne peut pas sauter les pièces intermédiaires et capturer en prenant la place occupée par la pièce adverse. En raison des caractéristiques de son mouvement, il a le défaut de faiblesse de couleur ; car son mouvement est limité à la couleur de la case dans laquelle le jeu commence.
Initialement, l’évêque ne faisait pas partie de Chaturanga ou de son successeur arabe Shatranj (jeux de société orientaux dont les échecs sont originaires). Elle a été en fait incluse dans le jeu vers le 12ème siècle, déjà en Europe. De nos jours, la plupart des diagrammes d’échecs représentent l’évêque avec la figure ou l’icône d’une mitre avec ses deux inflexions comme un pied ; mais il y a des schémas où cette pièce est représentée par un casque avec une visière ou un casque d’armure de chevalier médiéval.
Dans une partie du jeu, les évêques jouent généralement des fonctions de défense des pions au centre et, dans le concept hypermoderne. Ils préfèrent se développer pour contrôler les places centrales à distance. Au milieu et à la fin du jeu, sa valeur augmente à mesure que les positions deviennent plus ouvertes ; surtout si le joueur a toujours la paire d’évêques.
En effet, des études spécifiques sur les fins impliquant l’évêque ont été réalisées : les terminaisons avec des évêques de couleur opposée ont une grande tendance à dessiner même avec une grande supériorité matérielle du côté fort. Tandis que la possession d’un pion passé donne un grand avantage ; en particulier lorsque la case de promotion est de la couleur de l’évêque et que le Roi peut protéger le pion jusqu’au septième rang.
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5. Le chevalier
Le chevalier est une pièce inférieure des échecs occidentaux d’une valeur approximative de trois pions. Il a un mouvement similaire à un » L » et, contrairement à d’autres pièces ; il peut sauter des pièces intermédiaires une à la fois. De plus, il peut capturer en prenant la case occupée par la pièce adverse.
Au début d’une partie, chaque joueur dispose de deux pièces qui sont disposées dans les colonnes b et g ; ils sont disposés dans la première rangée pour les blancs et dans la huitième pour les noirs. Le jeu est plus actif dans le centre où plus de cases peuvent être attaquées que dans le coin. Normalement, les joueurs inexpérimentés craignent que le chevalier ne comprenne le mode excentrique de son mouvement ; étant surpris par la tactique de la fourche.
Cette pièce est utilisée dans presque toutes les variantes d’échecs ; généralement dans la même position que la version occidentale, toujours avec le même mouvement caractéristique et le nom attribué à l’animal cheval.
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6. Les pions
Ce sont les pièces les plus nombreuses d’un jeu d’échecs. Au début d’une partie, chaque joueur dispose de huit pions qui sont disposés en rangées 2 et 7, devant le reste des pièces. Le pion se déplace verticalement le long de la ligne sur laquelle il se trouve, sans pouvoir reculer. Dans le premier mouvement, à partir du point de départ, deux carrés peuvent être franchis et, à partir de là, un à la fois.
Pour qu’un pion capture la pièce, il doit se déplacer de son point de départ immédiatement sur la ligne diagonale. Le pion adverse avance de deux cases lors de son premier mouvement dans la file adjacente qui se trouve sur la même ligne que le pion qu’il va capturer. En atteignant la dernière rangée, il devient n’importe quelle autre pièce, à l’exclusion du Roi. Et ce mouvement est appelé couronnement ou promotion. Ainsi le pion sera immédiatement remplacé par une autre pièce qui peut être un chevalier, un évêque, une tour ou une reine et doit être retirée du plateau.
La promotion n’est pas limitée aux pièces précédemment capturées ; mais le joueur peut choisir la pièce qu’il souhaite promouvoir. Il est donc possible par exemple d’avoir plus d’une reine sur le plateau. Le pion est présent même dans les variantes du jeu, ayant servi d’inspiration pour certaines pièces peu orthodoxes. À l’origine, ils étaient la représentation militaire de l’infanterie ; mais, au Moyen Âge, ils étaient interprétés dans la morale comme les paysans.
Les pièces d’échecs sont considérées comme une unité de valeur. Elles deviennent plus précieuses à mesure que la possibilité de promotion augmente ; ce qui peut influencer la stratégie adoptée par le joueur dont le pion de l’adversaire tente à tout prix de bloquer ou de capturer.
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Conclusion
Le jeu d’échecs est un jeu de stratégie qui suscite de plus en plus d’intérêt au niveau de la population ; ce qui explique l’augmentation des nouveaux joueurs. Aussi, que vous soyez débutants, ou un habitué du jeu d’échecs ; nous vous conseillons d’avoir un club d’échecs où vous pouvez vous perfectionner en jouant avec d’autres joueurs.
Apprendre les échecs (ou suivre un cours d’échecs), et le fait de la pratiquer souvent vous permet de maîtriser les règles de déplacement des pièces d’échecs ; de bien placer ses pions, réussir vos configurations, et même participer à une partie d’échec de multi joueur. À présent que vous avez une parfaite connaissance des différentes pièces du jeu d’échecs ; nous vous conseillons d’apprendre à jouer aux échecs, si vraiment vous désirez devenir un excellent joueur de ce jeu de plateau.
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